
Seul en scène
LA FLEUR AU FUSIL
de Lionel Cecilio
INFOS
Tout public à partir de 11 ans
Horaire : 13h15
Lieu : Salle des Colonnes
Relâches :
Mercredis 9, 16 et 23/07
Durée : 1h10
Tarifs :
Plein tarif : 22€
Off : 15€
Tarif réduit*: 14€
Groupe**/+60ans/PMR : 18€
-12 ans : 12€
*Étudiants, -26 ans, PE, RSA
**À partir de 6 pers.
PRÉSENTATION
À travers ce spectacle, Le Grenier de Babouchka a voulu célébrer l’anniversaire des 50 ans de la Révolution des Œillets au Portugal.
Le 25 avril 1974, au Portugal, la Révolution des Œillets fait chuter la plus longue dictature d’Europe. Des milliers de portugais marchent ensemble, vers leur destin pour écrire, la fleur au fusil, une sublime histoire d’union, d’amour et de paix. Ces hommes et ces femmes réussissent ainsi à gagner leur liberté sans qu’aucune goutte de sang ne soit versée. C’est l’histoire d’une démocratie qui se gagne par l’union d’un peuple et qui se conquiert avec des fleurs.
Quand son petit-fils l’interroge sur sa vie, Céleste, émigrée portugaise en France, convoque en sa mémoire les souvenirs passés de sa jeunesse muselée par la dictature de Salazar…
GÉNÉRIQUE
De Lionel Cecilio
Mise en scène :
Jean-Philippe Daguerre
Avec : Lionel Cecilio
Créateur lumières : Moïse Hill
Régisseur : Simon Gleizes
Coproduction : Le Grenier de Babouchka et En Scène ! Productions
Diffusion :
Manoulia Jeanne : 07 67 11 21 94
diffusion@legrenierdebabouchka.fr
Gabrielle Gay : 06 29 98 26 88
gabrielle@esprods.fr
Presse : 01 47 88 99 17
legrenier.asso@yahoo.fr
© Crédit photo : Grégoire Matzneff
LA PRESSE EN PARLE...
"La Fleur au Fusil est une ode à l'espoir et à l'humanité, un spectacle qui touche au cœur et qui, longtemps après le dernier rappel, continue de résonner en nous. Ce seul en scène est un pur bijou." Passion Théâtre
"Lionel Cecilio est fulgurant de justesse, de précision. La pièce est magnifique." Reg'Arts
"À voir absolument, tant la performance est poignante !" Vivant Mag
"La performance de Lionel Cecilio est impressionnante. À lui seul, il incarne tous les personnages sans jamais nous perdre." Avignon et moi











© Photos : Grégoire Matzneff