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Théâtre contemporain

DE L'AMBITION

de Yann Reuzeau

INFOS

Tout public à partir de 14 ans

 

Horaire : 13h15

Lieu : Salle du Dôme

Relâches : 
Mercredis 12, 19 et 26/07

 

Durée : 1h20

Tarifs : 

Plein : 22€

Off : 15€

Réduit* : 18€

Étudiant/-25 ans : 13€

*Groupe (partir de 6 pers.), +60 ans, PMR

PRÉSENTATION

Cinq adolescents à la fin de leur histoire.
La fin de leur adolescence, de leur amitié, de leur monde. Bientôt, le reste de leur vie. Il faut décider de ce que l’on veut devenir. L’avenir, une chance ou une menace.
Léa veut sauver la terre entière, y compris ceux qui voudraient qu’on les laisse en paix. Parvaneh vit sous la menace (ou le soulagement?) d’un retour dans le pays de son enfance. Eliott souhaite que leur groupe n’explose pas, et peut-être même ressentir quelque chose de personnel, un jour. Jonathan juge le monde avec distance et froideur, et veut y vivre selon ses règles.
Et il y a aussi Cécile.

Qui regarde, observe, et prie pour que personne ne lui parle. Jamais.

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De gauche à droite : Gaia Samakh, Julian Baudoin, Gabriel Valadon,  Ines Weinberger, Clara Baumzecer

© Photo : Xavier Cantat

GÉNÉRIQUE​

De Yann Reuzeau

Édition : Actes Sud-Papiers

Mise en scène : Yann Reuzeau

Assistante : Clara Leduc

Avec : Julian Baudoin, Clara Baumzecer, Gaia Samakh, Gabriel Valadon, Ines Weinberger

Scénographie : Goury

Lumières : Elsa Revol

Plus d'infos :

www.manufacturedesabbesses.com/theatre-paris/de-lambition/

Contact diffusion :

Scène & Cies :
06 83 85 60 95 / 
05 53 70 20 69

contact@sceneetcies.fr

www.sceneetcies.fr

© Crédit photos : Xavier Cantat

LA PRESSE EN PARLE...

"Qu'il est difficile ce passage à l'âge adulte. C'est le moment charnière. Celui des choix de vie. Mais celui aussi où on a du mal justement à faire des choix. L'âge où on est trop jeune pour être vieux mais désormais trop vieux pour être jeune. La période où on se sent incompris de tous. Celle où on grandit, on change et on souffre, parfois. Où on apprend aussi et où on s'apprête à être lâchés dans le grand monde. Finie l'école, le parcours académique droit et sans embûche. Place à l'après, mais quel après ? 
C'est ce que se demandent les cinq acteurs de "De l'ambition". Léa, celle qui a toujours mené le groupe cherche à insuffler la motivation à ses amis pour faire de grandes choses. C'est la base de discussions houleuses où on les voit se déchirer, se quitter petit à petit. Car Eliott, lui est perdu, en quête de sens. Parvanneh hésite elle à aller à la recherche de ses racines. Jonathan teste ses limites, quitte à se perdre et à perdre tous ses êtres chers. Et Cécile reste de côté, comme emmurée dans le silence.
Au fur et à mesure qu'ils choisissent, les cinq ados s'éloignent, prennent des chemins divergents. Mais l'amitié et l'amour réunissent toujours les âmes égarées. Passée cette période trouble, ils se retrouveront. Mais pas tous. Et changés.
 La Provence

"Attention, secousses. Le public ovationne 'De l’Ambition', thriller de nos 17 ans.
Ambition? Fragilité, surtout. Celle de cinq jeunes qui, du plus discret au plus tapageur, montrent que l’adolescence est le moment de toutes les ébullitions. Soigneusement choisis par l’auteur français qui signe aussi la mise en scène, les cinq comédiennes et comédiens excellent dans cet exercice de réalisme enflammé.
Une heure trente d’échanges musclés et de dévoilements raffinés. A l’image de cette très belle scène où Eliott et Cécile, les deux indé
cis de la bande, se découvrent des affinités. Ou la fin, évidemment, qui montre la force du destin et les limites de la volonté.

Il y a deux choses qui frappent dans cette chronique de l’adolescence. D’une part, le fait qu’à cet âge, le rêve joue un rôle aussi important que la réalité. Plusieurs fois, on entre dans la tête de Cécile, l’effacée, et on réalise la vivacité de son monde intérieur peuplé d’assauts et de sensualité, tout ce que la lycéenne prostrée se refuse au-dehors. D’autre part, le texte montre très bien les différences de rythmes de cet âge. À démarrer trop vite, on peut s’essouffler, glisse l’auteur avec une grande tendresse pour la victime de cette injonction à l’efficacité. C’est que la société n’est pas innocente. Les notions de carrière et de réussite mettent une grande pression sur les épaules des teenagers et 'De l’Ambition' pointe aussi ce péril-là.

La finesse d’observation de Yann Reuzeau ne surprend pas. En 2012, ce dramaturge et metteur en scène démontrait déjà son talent dans 'Chute d’une nation', puis trois ans plus tard, avec 'Mécanique instable'. Une première représentation qui s’est conclue par une ovation méritée. Les cinq jeunes comédiennes et comédiens incarnent ces adolescentes et ces adolescents avec une telle vérité, qu’on peine à les imaginer différents hors plateau. C’est une force de Yann Reuzeau. Rendre compte de sujets de société avec une science du récit, des personnages et du tempo." Le Temps (Genève)

"Portrait d’un groupe instable à l’heure de choix déterminants, le texte fait surgir les doutes et les désirs de ces adultes en devenir. Autant dire que la mission est complexe, tant cet âge de la vie est un maelström épineux de questions sans réponse. Ce spectacle éruptif en est la preuve vivante. Façon de dire aussi que, mine de rien, il colle à son sujet et ne trahit pas ses héros.

Yann Reuzeau nous interpelle de bien belle façon. Avec le regard de "dramaturge-sociologue" qu’on lui connaît, l’auteur-metteur en scène ausculte ce délicat moment de l’existence. Il a su mettre en images et en espace ses propres mots, avec de très beaux moments, comme cette scène d’amour à la fois pudique et sensuelle, à l’image des deux protagonistes, ou encore cette scène de rêve dans laquelle les fantasmes de Cécile sont dévoilés.

Je vous recommande vivement ce spectacle maîtrisé de bout en bout et qui ne peut laisser personne indifférent. Un spectacle où le fond le dispute à la forme en terme de réussite."

De la cour au jardin

"Fantasmes, obsessions et peurs s'entrechoquent dans des scènes oniriques qui disent le malaise d'une génération en perte de repères et la difficulté de se positionner entre la volonté de trouver son indépendance et sa singularité, ou le besoin de suivre le groupe. Yann Reuzeau dirige avec justesse un groupe de jeunes comédiens très convaincants (Julien Baudoin, Clara Baumzecer, Gaia Samakh, Gabriel Valadon et Ines Weinberger) qui incarnent tous avec engagement des lycéens plus vrais que nature et dessine un fascinant et cataclysmique portrait de la fin de l’adolescence."  Froggy's delight

"Cinq adolescents en quête d’identité et d’ambition pour leur avenir à la sortie du lycée : c’est la belle et touchante histoire que nous propose Yann Reuzeau dans cette pièce au sujet intemporel du passage douloureux et parfois dangereux quand un jeune doit sortir de sa chrysalide. Tous vont se déchirer, essayer de s’aimer et tenter de construire un monde dont ils voudraient ne pas avoir trop honte ! Touchant, émouvant, très violent parfois, ce spectacle est à l’image de la jeunesse contemporaine aux désirs contradictoires, aux pulsions mal contrôlées mais à l’ardeur attachante.."  Yvelines Radio

© Photos : Xavier Cantat

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